Concerts, Festivals, La Scène, Musique d'ensemble

Premier week-end au Festival de la Chaise-Dieu 2025

Plus de détails

La Chaise-Dieu. 59e édition du festival.
23-VIII-2025 – 15 heures – Abbatiale Saint-Robert : Antonio Vivaldi (1678-1741) : Dixit Dominus R.V. 594; Laetatus sum R.V.607; Antiennes Nativitas Gloriosae Virginis et Domine adjuvandum me festina; Credidi Propter R.V 605; Magnificat en sol mineur R.V 610; Gloria R.V. 589a. Le Concert Spirituel, Hervé Niquet, direction.
23-VII-2025 -17h30. Auditorium Cziffra. Félix Mendelssohn (1809-18847) : quintette à cordes n°2 en si bémol majeur, opus 87 ; andante at allegro brillant, pour piano à quatre mains, opus 92; Fanny Mendelssohn (1805-1847) : trio à clavier, en ré mineur, opus 11. Trio Chausson; Boris Blanco, deuxième violon; Lise Berthaud, Violaine Despeyroux, altos; Romain Descharmes, piano.
23-VIII-2025 -21 heures- Abbatiale Saint-Robert- Johann Sebastian Bach (1685-1750) : Messe en si mineur, BWV. 232. Rowan Pierce, Jessica Cale, soprani; Alexander Chance, contreténor; Guy Cutting, ténor; Matthew Brook, basse. Dunedin Consort, John Butt, clavecin et direction.
24-VIII-2025 – 15heures- Abbatiale Saint-Robert. Anonyme : Stabat mater trois versions (intonation grégorienne, manuscrits de Monopoli et d’Ostuni). Tarentella « Mo è benuto il Giovedi Santu ». Francesco Durante (1684-1755) : concerto per quartetto n)1 en fa minueur. Giovanni Battista (1710-1736) : Stabat Mater. Hasnaa bennani, soprano; Marine Chagnon, mezzo-soprano; Serge Goubloud et Martial Pauliat, ténors; Igor Bouin, baryton. Le Poème Harmonique, Vincent Dumestre, direction.
24-VII-2025-17h30-Auditorium Cziffra. Alessandro Scarlatti (1660-1725) : Arpeggio de la toccata en ré mineur. Johann Sebastian Bach (1685-1750) : Fantaisie chromatique en ré mineur BWV 903 ; Concerto en ré mineur BWV 974 d’après le concerto pour hautbois d’Alessandro Marcello; Concerto en ré majeur BWV 972 d’après l’opus 3 n° 9 d’Antonio Vivaldi: Andante du concerto en ut majeur Anh. 151: Toccata en mi mineur BWV 914; concerto BWV 594 d’après « il Grosso Mogul » RV 208 de Vivaldi. Concerto italien en fa majeur BWV 971; Domenico Scarlatti (1685-1757) : sonates en la majeur K.208 et en si mineur K.27 . Benedetto Marcello (1868-1739) : Adagio de la sonate VII pour clavecin. Antonio Valente (1520-1580) : lo ballo dell’intorcia con sette mutanze, gaglarda napolitane con molte mutanze. Justin Taylor, clavecin.
Église Saint-André de Lavaudieu. François Couperin (1688-1733) : deuxième leçon des Ténèbres « pour le Merdredy »; prélude muzette et chaconne légère du troisième concert royal; Dietrich Buxtehude (1637-1707) : sonate en trio en la mineur, BuxWV 272; Christian Geist (1650-1711) : Cantate  » Es war aber an der Stätte »; Michel Richard de Lalande (1657-1728) : Troisième leçon « du Vendredy Saint »; Georg Böhm (1661-1733) : Choral varié  » Wer nut den lieben Gott lässt walten », air  » Durch dein gefängnis Gottes Sohn » extrait de la Passion selon Saint-Jean. Ensembme Théodora.

Partager

En cette seconde quinzaine d'août se déroule la 59e édition du  festival de la Chaise-Dieu en Haute-Loire. Au sein du premier week-end, essentiellement dévolu à la musique sacrée, étaient aménagées quelques pauses dédiées à la musique de chambre ou au clavecin.

Le Concert Spirituel d'Hervé Niquet retrouve Vivaldi

Il y a une dizaine d'année Hervé Niquet fixait au disque la restitution dans leur version originale des célébrissimes Magnificat en sol mineur RV 610 et Gloria en ré majeur RV 589 d', destinés initialement aux offices de l'orphelinat féminin de l'Ospedale de la Pieta vénitien (Clef ResMusica). Les chœurs sont donc cette après-midi assurés par une douzaine de voix de femmes. Pour compéter le programme, Hervé Niquet a sélectionné quelques psaumes antiennes ou motets afin de reconstituer un plausible office de Vêpres. Hélas, le projet qui avait jadis une fraîcheur revigorante nous a semblé trop routinier aujourd'hui. Dans l'acoustique assez dispersée de l'abbatiale Saint-Robert, l'ensemble vocal féminin manque sensiblement de corps et de présence avec des intonations grégoriennes hasardeuses, des interventions de pupitres solistes au complet inhomogènes, grevés parfois d'un vibrato envahissant. La cohésion du petit orchestre est parfois bien mise à mal. L'interprétation manque d'entrain, à l'exception de quelques saillies aux accents judicieusement cravachés (Domine Deus du Gloria) ou çà et là d'exordes quelque peu précipitées (Magnificat). Hervé Niquet y va, au gré d'une direction à la gestique peu lisible, de quelques private jokes à l'égard de ses musiciens – notamment au gré du Credidi propter  – s'exclamant même d'un très audible « Et voilà! » après la doxologie du Gloria terminal.

La fratrie Mendelssohn servie par des artistes français

Plus tard dans l'après-midi, en l'auditorium Cziffra tout proche, un passionnant programme unit quelques pages insignes dues à la fratrie Mendelssohn. Des liens très profonds, spirituels et musicaux unissaient Felix à sa sœur aînée Fanny : ironie du destin, ils disparaîtront tous deux brutalement à quelques mois d'intervalles en 1847.

En fin de concert le Trio Chausson livre une version haletante et habitée du sublime opus 11 de Fanny (1846), un chef d'œuvre méconnu, souvent formellement très original – un lied (ohne Worte ?) remplace le traditionnel scherzo – et d'un dramatisme expressif imparable au fil des mouvements extrêmes (la grande cadence de piano introductive du vaste final alla polacca). Le Trio Chausson en a livré au disque une interprétation assez magistrale mais l'exécution de ce soir, certes très lyrique, d'une belle courbe formelle pêche par une mise au point des détails assez fébrile. Le pianiste Boris de Larochelambert, malgré un jeu raffiné, tend au gré d'une partition très chargée à couvrir ses deux partenaires, Antoine Landowski apparaît au violoncelle, plus d'une fois approximatif – notamment dans les difficiles démanchés sur la chanterelle du premier mouvement. Heureusement, le violoniste Matthieu Handtschoewercker s'avère pleinement concerné et stylistiquement irréprochable.

En lever de rideau, les seules cordes du Trio Chausson sont rejointes par le violoniste Boris Bianco – également directeur artistique du festival – et les altistes Lise Berthaud et pour l'assez rare second quintette à deux altos opus 87 de Félix (1845), publié posthumement. Le compositeur n'était pas satisfait du final – la page la plus faible de l'ouvrage – qu'il aurait probablement refondu s'il avait vécu : mais l'effervescence enthousiaste de son allegro molto vivace, la valse légère de l'andante scherzando ou la noirceur tragique inattendue de son adagio relèvent d'une constante inspiration, digne du  juvénile octuor opus 20. La réalisation de ce soir appelle également quelques réserves. La sonorité globale est souvent un peu trop légère et pastel, très « française » de ton et d'énoncé, mais l'équilibre sonore demeure précaire entre violons et cordes graves : la jeune altiste peine notamment à trouver sa juste place entre le jeu plus élégant et frondeur de Lise Berthaud et la revigorante énergie d'Antoine Landowski ; Matthieu Handtschoerwecker n'est pas toujours irréprochable de justesse, de sonorité ou même d'élégance – des qualités beaucoup plus probantes chez son second Boris Blanco.

Entre ces deux œuvres substantielles Boris de Larochalambert et Romain Descharmes livrent au piano à quatre mains une exécution soignée et maîtrisée de l'assez anecdotique andante et allegro brillant opus 92, juste entachée en sa coda par une précipitation des traits un rien confuse.

Une Messe en si mineur a minima

En conclusion de cette journée du samedi, nous est offerte la monumentale et classique Messe en si mineur de Bach. S'inscrivant dans la lignée de Joshua Rifkin et d'Andrew Parrott, John Butt a choisi un effectif choral minimaliste de dix choristes/solistes. Ce parti pris d'interprétation fait directement écho aux doléances que Bach adressait en son temps au collège municipal de Leipzig où le Cantor se plaignait des effectifs malingres mis à sa disposition. Donner ce monument dans ces conditions vocales tient de la gageure est assez éloigné des effectifs rêvés par le Cantor pour le Kyrie et le Gloria Bach destinés en 1733 à la cour de Dresde.

La réalisation de ce concept se heurte de plus, ce soir à plusieurs obstacles contingents de taille. Les cinq solistes du chant – réunis dans le Cruxifixus – doivent pouvoir passer de la puissance collective du chœur à la fine intimité du solo ! L'approche gagne en transparence ce qu'elle perd en monumentalité festive, mais l'équilibre s'avère souvent précaire entre les voix, même placées en rang au devant du proscenium, et un solide effectif instrumental, dans la perspective sonore assez disruptive du lieu ! Les voix des choristes, au sein d'un pupitre juste dédoublé, se marient parfois assez mal (soprani 2, alti répartis entre mezzo féminine et  contre-ténor masculin), sur le plan de la qualité des timbres ou de la « longueur » du vibrato.

John Butt s'agite parfois beaucoup derrière son clavecin, travaille sur la théâtralité du discours plus que sur la fluidité des enchaînements (le Cum sancto spiritu du Gloria est lancé en totale rupture avec le Quoniam tu solus le précédant !), lisse les interventions de l'orchestre – hormis celles des trompettes et timbales d'une prestance toute haendélienne (le Gloria). Le Christe eleison court la poste avec deux soprani de couleurs peu coordonnées (Rowan Pierce, toujours convaincante au gré de l'œuvre et Jessica Cale, plus irrégulière). Le ténor , un peu neutre timbriquement, assume avec une belle probité stylistique le solo du Benedictus. La basse Matthew Brook, à l'écrasante personnalité, est trop présent au sein de son pupitre mais domine totalement son sujet au gré de l'impérial Quoniam tu solus du Gloria, ou d'un ductile Et in spiritum. Mais la révélation de cette soirée demeure le contre-ténor Alexander Chance – le fils de Michael – d'un timbre fruité et mordoré et d'une parfaite conduite de phrasé, livrant un Agnus dei intemporel et suspendu.

Avec , le Stabat Mater de Pergolèse remis dans son contexte culturel napolitain

Le dimanche après-midi, , sous la direction de , s'empare de l'acoustique de l'abbatiale Saint-Robert pour un « concert-concept » autour du Stabat Mater de Pergolèse, programme qu'il a également enregistré sur disque il y a une dizaine d'années.

L'idée, assez géniale, est de replonger l'ultime chef-d'œuvre du maître péninsulaire dans le contexte religieux de la Semaine sainte et l'environnement culturel du Naples baroque. La première partie du concert-rituel plante le décor, démarrant en procession depuis la nef vers la scène. L'auditeur se retrouve au centre du jeu, à la croisée des tarentelles populaires aux textes adaptés, d'intonations grégoriennes et des « bourdons » locaux extraits de manuscrits anonymes – de Monopoli et d'Ostuni.

Au cœur de cette première partie, un magnifique Concerto per quartetto de Francesco Durante — effusivement articulé dans sa délicatesse — prépare le terrain avec ses motifs furtifs, sorte d'échos aux futurs thèmes du Stabat Mater pergolésien, opportunément placé en fin de programme.

Ce montage sonore, des plus cohérents, mis au point par le passionné , brillamment interprété, subjugue par sa plausible véracité historique et son engagement esthétique. Les voix de , et Igor Bouin, délibérément naturelles et parfaitement en situation, installent une ambiance irrésistible, faisant basculer le public, en un tournemain, de la fête populaire à la religiosité la plus rigoriste.

Le Stabat Mater, chant du cygne de Pergolèse, est restitué tel qu'en lui-même, débarrassé de toute gangue classico-romantique, oscillant entre intériorité la plus janséniste — l'excellente soprano — et vocalité plus extravertie, voire opératique – la mezzo-soprano Marine Chagnon, aux graves veloutés d'une profonde couleur amarante. Les duos sont autant de mariages du feu et de la glace, fouettés au millimètre par un Poème Harmonique en grande forme, conduit par un très impliqué. Le public ne s'y trompe pas et réserve un triomphe à ce spectacle aussi intense que réussi. Pour un seul bis, les artistes offrent une nouvelle et ultime tarentelle toujours aussi religieusement… endiablée.

Bach en promenade italienne sous les doigts de

A 17h30, nous regagnons la salle Cziffra pour le récital de reprenant l'essentiel de son élégant patchwork discographique, condensé intelligemment agencé de l'art de – compositeur ou transcripteur sous influence transalpine : un portrait italianisant par petites touches mêlant approche virtuose, joie de vivre et tristesse mélancolique, augmenté de deux magnifiques sonates de Domenico Scarlatti, et pour faire bonne mesure, de deux frénétiques danseries napolitaines dues – bien antérieurement – au renaissant .

Un programme tenant autant du puzzle bien ficelé que du jeu de pistes articulé autour de trois œuvres phares originales du maître germain: la sévère et ruptrice fantaisie chromatique BWV 903, jouée sans sa fugue), la volubile, solaire et « fantastique » toccata en mi mineur BWV 914, et, pour conclure, le concerto dans le goût …italien BWV 971, et donc diverses transcriptions du maître saxon, géniales et gourmandes refontes pour le seul clavecin de concerti vénitiens bien connus signés Alessandro Marcello ou , et quelques mouvements lents épars ajoutés en guise d'intermèdes.

Quel immense plaisir de retrouver un Justin Taylor toujours aussi communicatif, amène et souriant, présentant avec quelques mots bien sentis les options qui ont guidé la sélection des pages. Eu égard à l'enregistrement discographique, c'est toujours la même nostalgie solaire d'une impalpable amertume qui nimbe intensément les mouvements lents des concerti, mais ce soir s'est installée une urgence voire une certaine précipitation dans l'exécution des traits finals des concerti les plus virtuoses. À l'occasion l'une ou l'autre inhabituelle – sous ces doigts experts ! – scorie grève nerveusement quelque peu le premier temps du Concerto italien. Il n'empêche que la fine musicalité, la versatilité des ambiances et l'enthousiasme  le plus communicatif sont en rendez-vous, malgré un clavecin assez « standard » et un peu bizarrement accordé.

En bis, Justin Taylor s'octroie une pause bien française avec des Sauvages de Rameau débridés et savamment ornementés et un Tambourin de Pancrace Royer finement articulé mais diabolique dont la dernière  reprise expédiée accelerando déchaîne les applaudissements d'un public assez justement conquis !

La prodigieuse découverte de l'ensemble Théodora

Terme de cette odyssée musicale : un superbe programme dans l'église du beau village de Lavaudieu, axé sur le temps de la Passion et placé sous les auspices de la réunion baroque des goûts français et allemands.

Défendu avec engouement et fraîcheur par le jeune ensemble – exclusivement féminin – Théodora, le programme permet d'entendre deux des plus fameuses leçons de Ténèbres du Grand Siècle (la deuxième du Mercredy, de François Couperin – maître également présent pour quelques pièces instrumentales extraites du Troisième Concert Royal – et la troisième pour le Vendredy de de Lalande) couplées à une cantate de Christian Geist -compositeur d'Allemagne du Nord actif à Copenhague et Göteborg ( Es war aber an des Stätte, laquelle narre la mise au Tombeau du Christ). Georg Bôhm est convoqué pour un air d'une passion selon Saint-Jean qui lui est attribuée sous réserves, outre le choral varié Wer nur den lieben Gott lässt walten, destiné au seul clavecin. Pour faire bonne mesure, une superbe sonate en trio Buxwv 272 de complète l'ensemble du programme.

Fondé en 2018, par d'alors jeunes étudiantes parisiennes, expatriées en troisième cycle à Londres, Theodora entend explorer les répertoires plus rares des XVIIe et XVIIIe siècle, sous plusieurs angles originaux : travail sur l'improvisation, intérêt pour des compositeurs exilés, créations théâtrales diverses, concerts-animations.

La soprano Mariamielle Lamagat défend avec vaillance ces pages, célèbres ou quasi inconnues. Peut-être peut-on lui reprocher une projection un peu trop théâtralisée pour ce répertoire de l'intimité, et des aigus un peu lâchés à découvert ; la prononciation de l'allemand pourrait aussi être un peu plus marquée dans l'accentuation des consonnes, mais la voix est timbriquement splendide et la conduite vocale par ailleurs admirablement maîtrisée. Elle est entourée par la gambiste Alice Trottelier, fine musicienne et habile présentatrice du concert, et par deux  brillantes instrumentistes déjà appréciées l'après-midi au sein du Poème Harmonique : la violoniste Louise Ayrton – connue aussi pour ses collaborations entre autres avec les ensembles Clématis ou Le Consort – et la très polyvalente et assez extraordinaire claveciniste Lucie Chabard – ayant  accordé son clavecin de manière originale et avec un goût très sûr.

En bis, le quatuor, décidément très à l'aise dans le répertoire français, nous gratifie d'un court extrait d'une cantate profane d'Elisabeth Jacquet de la Guerre. A n'en point douter Théodora est certainement un des ensembles les plus prometteurs de la jeune scène baroque française et publiera son premier disque début 2026 chez Alpha.  Il nous permet de refermer l'esprit en joie et le cœur en fête ce réjouissant week-end festivalier.

Crédits photographiques : Le Concert Spirituel, Concert Mendelssohn, Justin Taylor © Bertrand Pichon.
Dudelin Consort et ensemble Theodora 
© Vincent Joffre.
/ et Marine Chagnon
 © Ludivine Ricou.
(Visited 300 times, 1 visits today)
Partager

Plus de détails

La Chaise-Dieu. 59e édition du festival.
23-VIII-2025 – 15 heures – Abbatiale Saint-Robert : Antonio Vivaldi (1678-1741) : Dixit Dominus R.V. 594; Laetatus sum R.V.607; Antiennes Nativitas Gloriosae Virginis et Domine adjuvandum me festina; Credidi Propter R.V 605; Magnificat en sol mineur R.V 610; Gloria R.V. 589a. Le Concert Spirituel, Hervé Niquet, direction.
23-VII-2025 -17h30. Auditorium Cziffra. Félix Mendelssohn (1809-18847) : quintette à cordes n°2 en si bémol majeur, opus 87 ; andante at allegro brillant, pour piano à quatre mains, opus 92; Fanny Mendelssohn (1805-1847) : trio à clavier, en ré mineur, opus 11. Trio Chausson; Boris Blanco, deuxième violon; Lise Berthaud, Violaine Despeyroux, altos; Romain Descharmes, piano.
23-VIII-2025 -21 heures- Abbatiale Saint-Robert- Johann Sebastian Bach (1685-1750) : Messe en si mineur, BWV. 232. Rowan Pierce, Jessica Cale, soprani; Alexander Chance, contreténor; Guy Cutting, ténor; Matthew Brook, basse. Dunedin Consort, John Butt, clavecin et direction.
24-VIII-2025 – 15heures- Abbatiale Saint-Robert. Anonyme : Stabat mater trois versions (intonation grégorienne, manuscrits de Monopoli et d’Ostuni). Tarentella « Mo è benuto il Giovedi Santu ». Francesco Durante (1684-1755) : concerto per quartetto n)1 en fa minueur. Giovanni Battista (1710-1736) : Stabat Mater. Hasnaa bennani, soprano; Marine Chagnon, mezzo-soprano; Serge Goubloud et Martial Pauliat, ténors; Igor Bouin, baryton. Le Poème Harmonique, Vincent Dumestre, direction.
24-VII-2025-17h30-Auditorium Cziffra. Alessandro Scarlatti (1660-1725) : Arpeggio de la toccata en ré mineur. Johann Sebastian Bach (1685-1750) : Fantaisie chromatique en ré mineur BWV 903 ; Concerto en ré mineur BWV 974 d’après le concerto pour hautbois d’Alessandro Marcello; Concerto en ré majeur BWV 972 d’après l’opus 3 n° 9 d’Antonio Vivaldi: Andante du concerto en ut majeur Anh. 151: Toccata en mi mineur BWV 914; concerto BWV 594 d’après « il Grosso Mogul » RV 208 de Vivaldi. Concerto italien en fa majeur BWV 971; Domenico Scarlatti (1685-1757) : sonates en la majeur K.208 et en si mineur K.27 . Benedetto Marcello (1868-1739) : Adagio de la sonate VII pour clavecin. Antonio Valente (1520-1580) : lo ballo dell’intorcia con sette mutanze, gaglarda napolitane con molte mutanze. Justin Taylor, clavecin.
Église Saint-André de Lavaudieu. François Couperin (1688-1733) : deuxième leçon des Ténèbres « pour le Merdredy »; prélude muzette et chaconne légère du troisième concert royal; Dietrich Buxtehude (1637-1707) : sonate en trio en la mineur, BuxWV 272; Christian Geist (1650-1711) : Cantate  » Es war aber an der Stätte »; Michel Richard de Lalande (1657-1728) : Troisième leçon « du Vendredy Saint »; Georg Böhm (1661-1733) : Choral varié  » Wer nut den lieben Gott lässt walten », air  » Durch dein gefängnis Gottes Sohn » extrait de la Passion selon Saint-Jean. Ensembme Théodora.

Partager

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Reproduire cet article : Vous avez aimé cet article ? N’hésitez pas à le faire savoir sur votre site, votre blog, etc. ! Le site de ResMusica est protégé par la propriété intellectuelle, mais vous pouvez reproduire de courtes citations de cet article, à condition de faire un lien vers cette page. Pour toute demande de reproduction du texte, écrivez-nous en citant la source que vous voulez reproduire ainsi que le site sur lequel il sera éventuellement autorisé à être reproduit.