Mahler, puis Bruckner, enfin Schubert. L’étrange voyage à rebours de Mariss Jansons dans l’histoire de la Symphonie autrichienne atteindrait-elle à son point de non retour ?
Le tempo tranquille de l’Andante, ses phrasés dosés, l’élan assez Mendelssohn de l’Allegro ma non troppo, tout cela augure assez mal d’une symphonie qu’on voudrait fidèle à son qualificatif : Grande, par l’ampleur, par la forme, par le ton.
Ici elle n’est pas même élancée, jouée dans un ...